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blog à part

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28 novembre 2006

Viscérale

La maternité se ramasse, passe dans le marasme,

La production de l’homme sociétaire

Est une impasse haletant le spasme,

Respirant le père et l’impure

Riant de tout de trop qui dure

A une explication au pied du mur.

Sur trois un se fait la paire et sa grâce,

Un y croit et de sur croit se dépasse,

Peur de tomber pile et face à face

Avec l’étrange, sur le rythme de mal appris.

Un n’a plus qu’à se croiser les doigts à la vie.

Le monde chance se déhanche et planche

On rit, on pleur, on s’efface ou tend la manche.

Non loin, le rêve d’enfant songe d’abîme

Petit moment d’envole de douceur qui s’abîme

Doit regagner le vent de prime à qui trime

Riche et green ou la nicotine s’imprime

Des mots rêches à qui de droit se lâches

Hache les paroles sèches, des mots qui se mâchent.

Qui a le bon rôle ? Qui vend la mèche ?

Celui qui foule le sol en dansant rentre dans la brèche.

Viscérale

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27 novembre 2006

Gratitude

Zed_Fantasy_01024

Gratitude

Mon esprit n’est plus troublé

De ces substances pro-dopées.

Mais vois-je plus clairement ?

Je me laisse dominé ? Sûrement.

Cet effet mer m’anesthésiait

Endormit mais bien conservé,

Au bout de ma chaîne le boulet.

Que je traîne encore sans souhait !

J’ai fait de ma vie, un dérapage.

Voué au travail, acharné sur l’image,

Un rouage infernal sans moteur

Comme si je voulais fuir le malheur.

Ce qui me freine c’est ma conscience !

Un cadeau pour moi : la délivrance !

Prendre la vie plus légère, plus sincère.

Arrêter de vivre pour mes pères.

Pourquoi destruction est la vérité?

Déporter le sens de ma personnalité,

Veut dire que je n’ai jamais osé

Me rendre heureux avant de donner.

Savoir tourner la page sans ménage,

En avoir dans le pantalon sans age.

Une seule barrière, une seule envie

Celle de contenter ma deuxième vie.

27 novembre 2006

La cuisine va plutôt bien

Longtemps laissé à l'abandon ce métier d'art reprend du poil de la bête même si on ne l'à pas encore tué.

Quoi que l'on en dise si c'est par passion que l'on aime cuisiner alors de tres grand moment son en perspective.

Il y a pourtant un hic! un des métier le moins sécurisé, le moins compris, le moins protégé. Et oui il vous suffit d'avoir un peu d'oseille de flêche de pogno de flouse d'artiche.... du blé quoi! Et là et à cette seule condition vous pourrez monter ce que l'on appelais avant, un restaurant.

Et tous les clampins d'ancien avocat, toubib, architecte...... qui ont montés des restaurants ces 30 dernières années on participés à la chute libre de la qualité national et donc de la quasi-totalité de nos petits restaurants et grandes tables. Si on pouvais demander ne serais-ce qu'une petite expérience de 5 ans dans ce mérier et même sans diplôme pour avoir ce droit d'ouvrir une porte artistique de nos appétits.

27 novembre 2006

Fatale idée

FATALE IDEE

Laminé, dominé pas trop

Fabulé contaminé, con padré

Fabuleuse histoire, retret absolu

De fascistes, de catholique

La vie de tous, la guerre aussi

L’avis de témoin, pas claire,

Pour d’infimes cimes

,

autant de victimes

Allez doux va seigneur , Dieu que c’est triste

Tout ira pour le mieux , on va s’appliquer mais,

Ce n'est pas sur ou bien dur

Lien de facilité n’endure que la difficulté

Le plus simple serai de tout effacer

De recommencer de voir ce qui a

Fait basculer le monde

Dans cet engrenage perpétuel

Père et rituel

Pratique de psychose de leçon en overdose

De verbes et de proses

Qui a le premier semer le doute ?

Qui de nous tous a permis

Le début de l’extinction de l’être humain ?

Processus à compte à rebours

Irréversible tendance à la destruction

L’envie cible le pouvoir et la possession

Ce sentiment qui vous fait tout oublier

Ecran de la réalité, masque du bien être

Amphi théâtre du profit

Cette forme de cancer n’est pas  répertoriée

Pourtant, le syndrome le plus répandu de nos jours

En fait nous recherchons depuis toujours

Une planète habitée d’être supérieur

C’est la marque du désespoir

On a besoin de se faire guider

Car seul nous ne nous confirmons pas

L’homme a besoin de se faire diriger

Courageux mais si seul il ne peut

Que s’auto détruire, seul solution extrême !

Sans nouveau challenge le rêve devient

Ange ou démon et s’envole

La douceur de vie n’existe que par restriction et réduction

L’homme ne s’aime guerre et bientôt se clone,

Au désespoir de solitude intellect.

27 novembre 2006

J’étais cinq ans !

Tout était de coton et de son

Aussi opaque quoi que plus blond

Et d’un sursaut le sourire de la vie

La vue, la parole, l’ouie et la peur de l’oubli.

Tout électrisé ses sens donnés innés

Sensation d’amour, perception d’être aimé.

Se déplace dedans et tout autour insouciant

De sa motrice sans vice, automatisé de l’avant.

Une assurance naïve prenant en charge le premier pat,

Première élévation symbolique par le physique d’un bel éclat.

Les mots, les réactions, le touché, la confrontation,

Tous ces souvenirs magiques de lumière et de son.

L’affection, la compréhension, la découverte,

Somme de recueil de sens et d’image verte.

Ce goût frais d’une matinée, ce parfum fruité du goutté,

Cette vie qui passe au goutte à goutte de beauté.

Tout ce chemin de bonne morale en accord avec son corps,

Loin des discordes mais si prés de l’hombre d’un sergent major.

La suite est pupille et mémoire d’homme et de ronce, d’une lance

D’embûches, d’abus, de déception et trahisons dans la vie qui avance.

J’étais cinq ans !

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26 novembre 2006

COM' Tel

TEL !

Coucher_de_soleil

COMME

Cette nuit, la lune était pleine, sur d’elle.

Le ciel implosait d’un noir étoilé.

Une nuit qui s’imposait comme éternelle,

Ainsi pouvait réveiller en nous notre réalité,

Ce sens de déduction et de logique créative.

On pouvait se sentir humble et léger,

Source de comparaison, vive et active.

En un éclair, d’un jour ensoleillé,

Clair et nous stoïques, que la nuit annule,

Se tue d’une tumeur de contre sens.

L’ambiance est à la clarté commune

Comme l’esprit au centre d’une case à minuit !

Le jour nous éblouis, la nuit nous envahis.

Nous badons de notre sphère l’éclatant,

Comme le rêve ose croire à l’épatant !

26 novembre 2006

Vil An

VIL AN

Cet instant incertain

Assistant du destin

Nous dicte le chemin

De nos choix malins.

Note bien ce mélange

De la passion étrange

De la douleur de l’ange !

Au mal qui nous démange !

Te souviens-tu humain ?

Du temps passé incertain

De ce que l’on voulait être

Ces angoisses et ce paraître.

Que sommes nous devenus ?

Incertitude de notre vue

On n’a pas de mauvaise façon

Mais pas ce que nous voulions.

D’un coté matériel c’est limite

Pour notre esprit c’est critique

Nos erreurs nous font plus peur

Mais le future, à coté du cœur…

Tout ce temps qui est perdu

A manqué de fait et de crue

On s’est effacé mais pas gracié

La réussite n’était pas cernée

Le refus de percer nos valeurs

Nous vaut ce moment de rancœur

A nous de faire les liens du destin

Et d’enlever la sueur du lendemain.

21 novembre 2006

Mère, terre, aise.

                                          extrasol

L’aube est là, prête à retirer sa sombre robe

Faire place au jour et la nuit se dérobe.

La pensée de cette passation est à la splendeur,

Un doux parfum s’échappe du matin rosé

Mélange de bruyère humide et bouquet de fleur.

Le soleil étant, pimente cette alliance évaporée.

Le champ libertin concerté par de précieux volatiles

Met le champ avide de culture dans tous ses états.

Ces refrains pianotés du bec font valoir des notes subtiles

Un artifice de sons bien heureux, aux multiples éclats

Un mélange d’hinnalation et de concerto se rassemble

Ce cocktail m’habille en ivresse d’amour et de douceur.

Communiquons à ceux qui portent cet ensemble !

Qu’ils peuvent apprécier cette nature à toute heure!

Elle est là patiente, aimante et nous tente

Cette attirance au sein de notre mère la terre

Rappel tous nos vieux démons à la dilettante

Car il est l’heure dans chaque cœur d’être plus claire.

Encens de son essence et depuis sa naissance

Cuisant notre odora, nous adorons d’ors et déjà

Depuis tout temps, tant nos ancêtres ou notre enfance

Nous berce d’une marée verte et fruitée, ouverte à nos débats.

earthx

Mère, terre, aise.

21 novembre 2006

Hum !

Hum !

Ce que peut être un matin

plein d’entrain au bon teint

Après une nuit pleine de câlin

A voir le bout de ses petits seins.

Son petit corps d’encens

me fait frémir tous mes sens,

Mon état spirituel est stimulé

par cette attirance démultipliée,

Mène mes pulsions sexuelles

A la démesure, fougue sensuelle

Alors l’émulsion du corps

à l’esprit se mêle pour elle

Et le tourbillon de l’amour large

m’entraîne et m’ennivre de passion

L’embarquement pour le voyage,

Au départ, à l’aile de la dimension !

Saintablo

19 novembre 2006

Brèves dictions

Ordinaires sont les visages de l’ombre,

Sous leur ombrière, les sages sombrent

Mouvance d’hier, rage d’aujourd’hui,

Ne sont plus claire, en cage de l’oublie.

Ils sont repartis pour le pays des songes,

Ne retiennent le vent, tapis de mensonges,

Ne reviennent pas tant l’esprit se ronge,

D’insouciance, ils ne passeront l’éponge.

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Des larmes, des rires et du cœur,

Les rides du temps nous font peur,

A dire plus souvent des mots plus savants,

Pour exprimer nos désires de vingt ans.

mandala

De ces idées d’expression, une ne flétrit jamais,

Histoire d’amour, un jour de mai au muguet,

Ou du prince charmant au compte de fée,

De la vérité qui coule de la source enchantée.

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                                systsol

jour de pluie ou anémie, jour de cris.   

Insatisfait, la lubie prend une marge démesurée.

Décrié l’ange se rebiffe d’un ton désespéré,

Ne sachant plus se retirer de son envole agacé.

Avec le temps tout s’en va,

La tempête passe son chemin et va plus loin.

Le carma se redresse d’une tresse avec adresse,

Il suffisait de laisser mûrir le délit de déluge.

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La tendresse et la passion que j’ai lu dans son regard m’ont ému.

Une envie de l’aimer m’a pris la gorge, les larmes n’étaient pas loin.

Pas très loin non plus cette envie de réussir, de percer à jour cette sensibilité,

du moins continuer à la faire partager sans honte. Car dans l’instant présent, le regard des autres n’a plus autant d’impact que d’an temps. Ce qui est pris en compte aujourd’hui, c’est un age certain qui ne me pousse plus à assurer une probabilité virile, pourtant primordiale le temps d’une confirmation d’homme étant.

Maintenant, chose faite, j’accepte volontiers d’assumer et de montrer ma

nature profonde qui est dotée d’une forte sensibilité, doublée de personnalité forgée au fer blanc.

L’école de la vie m’a apprit par étape, ce que mes parents n’avaient pas osé me révéler. Mais en même temps ce que m’a apprit cette vie là, m’a blessé mais pas transpercé. Mes anti-corps de la société, ont défendu et non sans mal, la forteresse de non-vice que mes chers parents m’aient dressé. Et au bout de toutes ces aventures, la raison à eu gain de cause. Je me sens dans cet instant libéré d’une contre performance, qui aurait pu me perdre à jamais.

Je vais enfin oser rester moi-même, et donner tout l’amour possible, toute la sérénité la plus juste.

N_nuphars

BREVES DICTIONS.

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